Premier incident de la mandature à Cébazat

Les Cébazaires ont reçu le dernier numéro du magazine de la ville. Celui-ci est postérieur à l’élection municipale du 9 mars dernier et nous aurions dû, comme le prévoit le code général des collectivités territoriales, avoir un espace de parole.

La décision prise, à savoir celle de ne pas nous laisser prendre la parole, est profondément choquante. Elle l’est d’autant plus que, dans ce même numéro, la maire revient sur les résultats des élections. C’est un manque de respect évident vis à vis des 1273 Cébazaires qui ont voté pour nous et qui sont ainsi privés de parole.

Nous avons donc envoyé une lettre au maire afin d’obtenir des explications. Cette lettre reste est sans réponse pour le moment.

Nous nous réservons la possibilité de faire un recours devant le tribunal administratif.

Téléchargement cébazat_le_30_avril_2008.pdf

Le groupe d’opposition municipale

4 Comments

  • Daniel 13 mai 2008

    L’oubli doit-être causé par la force de l’habitude.

  • Daniel 14 mai 2008

    Je crains que faire appel au tribunal administrative ne serve pas à grand chose.Mais comme il s’agit d’une histoire de droit; je citerai justement une formule de prof de droit, afin de réconforter un peu les floués de cette histoire : » la vertu habite l’opposition ».

  • Serge Weidmann 26 mai 2008

    C’est toujours pareil avec certains maires socialistes du département:
    Ils ont le mot démocratie plein la bouche mais quand il s’agit de passer aux actes, il n’y a plus personne.
    Et l’opposition doit se battre sans arrêt pour faire reconnaître ses droits, à Cébazat comme à
    Clermont. C’est usant mais c’est bien ce qu’ils veulent: nous user.
    Flavien, continue, comme le bouledogue, à leur mordre les cuisses et ne les lâche pas. Prends à témoin les habitants et, bien sûr, pour faire passer tes idées, ne compte que sur tes propres moyens de communication dont ce site internet.
    Bon courage.

  • Daniel 2 juin 2008

    M Auby a l’avantage d’être connu mais M Neuvy ne l’est pas encore suffisamment. Mais dans six ans…

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