Le vrai programme de Mélenchon : faire de la France le Venezuela de l’Europe. Partie 3.
Poursuivons l’étude du programme de Jean-Luc Mélenchon. Il veut mettre en place une règle de rang constitutionnel (page 31) : « Ne pas prélever sur la nature davantage que ce qu’elle peut reconstituer, ni produire plus que ce qu’elle peut supporter ». Donc, concrètement, cela se traduit par quoi ? On ne ne sait pas, il n’y a aucune autre précision dans le livre sur ce point. Une déclaration de bonne intention de plus.
Toujours page 31, M. Mélenchon explique que l’air, l’eau, l’alimentation, le vivant, la santé, l’énergie et la monnaie ne sont pas des « marchandises » et qu’il faut donc les gérer de façon « démocratique ». Cela ne veut rien dire. Par contre, il précise que « le droit de propriété sur ces biens d’intérêt général doit être soumis à l’intérêt général et que leur propriété commune doit être protégée et les services publics développés. » Ce qui est intéressant dans cette proposition c’est de voir à quel point Jean-Luc Mélenchon évite de parler de nationalisation. Or, on devine aisément que c’est bien l’objectif qui se cache derrière ces phrases alambiquées : des nationalisations massives dans ces secteurs. Mais visiblement, son équipe lui a déconseillé d’utiliser ce mot. On retrouve la même technique page 45 où il est proposé de « revenir sur les programmes de privatisation » et non de procéder à des nationalisations. Il précise page 46 qu’il faudra de toutes façons recourir à des « réquisitions d’entreprises d’intérêt général. » Lesquelles ? Au lecteur d’imaginer.
Sur le plan judiciaire, il est prévu de mettre fin au « tout-carcéral » pour assurer « la socialisation des détenus. » Le problème ce n’est pas la délinquance, c’est la prison. Un vieux classique. Pour « garantir la sécurité et la sûreté », M. Mélenchon veut « démanteler les BAC qui ne font que du flagrant délit et ne permettent pas d’assurer une bonne relation entre la police et la population. » Une telle proposition démontre une profonde méconnaissance du travail de terrain fait par les équipes des BAC et c’est méprisant à l’égard de ces fonctionnaires de police.
Sur le plan économique, le désastre est programmé. Il veut interdire les ventes de gré à gré et la titrisation (page 48). Mieux : il interdirait la cotation en continue des entreprises (page 49) ainsi que les LBO (en dehors des reprises des entreprises par les salariés). Toutes ces mesures sont suicidaires pour notre économie. S’il est élu, Jean-Luc Mélenchon créera un pôle public bancaire. C’est dommage que personne n’ait pensé à lui dire qu’il existe déjà (banque postale, BPI, Caisse des dépôts…).
Pour les jeunes de 18 à 25 ans, il veut créer une « allocation d’autonomie » sous condition de ressources. Ce n’est pas une allocation d’autonomie mais de dépendance à l’égard de l’Etat. Par ailleurs, comme à chaque fois, M. Mélenchon ne dit rien sur le coût de cette mesure.
Le retour de la retraite à 60 ans à taux plein pour une durée de cotisation de 40 ans est prévu. Quel coût pour les finances publiques ? M. Mélenchon prend soin de ne rien dire sur ce point, comme à chaque fois. Mais avec M.Mélenchon l’argent tombe du ciel donc inutile de perdre du temps à chiffrer le programme.
Concernant le logement, il annonce la création d’une taxe progressive pour les « hautes transactions immobilières. » C’est quoi une « haute transaction immobilière » ? Quel serait le montant de cette taxe ? Aucune autre précision n’est apportée.
Pour la dette publique, Jean-Luc Mélenchon annonce la couleur. Il veut faire un « audit citoyen » de la dette publique pour en déterminer la part « illégitime » et « préparer un réaménagement ». En clair, faire défaut sur le paiement de notre dette (page 63). Il annonce aussi qu’il fera « racheter » la dette par la « banque centrale ». Laquelle, la BCE, la BDF ? Par ailleurs, il faudrait que quelqu’un dise à Jean-Luc Mélenchon que l’actuelle politique monétaire de la BCE a tiré un grand nombre de maturités en territoire négatif. En clair, pour plusieurs Etats dont la France, certains emprunts sont encore moins chers que gratuits puisqu’ils se font à taux négatifs. Que veut-il de plus ?
Mais au-delà de toutes ces bêtises invraisemblables, le projet de la France insoumise porte de nombreuses propositions encore plus dangereuses. Elles concernent la position de la France dans l’échiquier international. Jean-Luc Mélenchon président prendrait « des mesures immédiates et unilatérales de sauvegarde des intérêts de la Nation et d’application du projet » (page 81).
Il est ainsi prévu de ne plus respecter les règles européennes du pacte de stabilité, de refuser le libre-échange et de stopper la libre circulation des capitaux et des marchandises au sein de l’UE. Par ailleurs, Jean-Luc Mélenchon veut mettre fin à l’indépendance de la BCE et dévaluer l’euro. Il va de soi qu’aucun autre pays européen n’acceptera de telles mesures (en dehors de la Grèce). Du coup, un « plan B » est prévu (page 85), et c’est du lourd :
– Mélenchon stoppe la contribution de la France au budget de l’UE.
– Il « réquisitionne la Banque de France ».
– Il met en place un contrôle des capitaux et des marchandises aux frontières.
La France sortira de l’Otan, du FMI, de la Banque mondiale, de l’OMC pour engager la France dans une « nouvelle alliance alter-mondialiste ». Jean-Luc Mélenchon a proposé lors de son déplacement en Martinique, que la France entre « dans les coalitions des pays des Caraïbes et d’Amérique latine » citant « L’Alba et le Mercosur ». Rappelons que L’Alba – Alliance bolivarienne pour les Amériques – est une coalition de pays latino-américains, par le Vénézuélien Hugo Chavez et le Cubain Fidel Castro. Une vraie référence.
Lors d’une émission sur sa chaîne Youtube, Mélenchon a chiffré son programme : 273 milliards de dépenses sur le quinquennat pour 190 milliards de recettes. Du grand n’importe quoi. Des chiffres alignés les uns derrière les autres sans aucune crédibilité.
La réalité est simple : le programme de la France insoumise est très proche de ce qu’ont fait les pays communistes : étatisation massive de l’économie, contrôle des capitaux, isolation de la France qui sortirait de tous les grandes organisations internationales…Cette politique a été mise en oeuvre au Venezuela. Inutile de revenir 50 ans en arrière pour savoir ce qu’engendrerait une telle politique : appauvrissement généralisé du pays, pénuries, inflation non maîtrisée…bref, la ruine, comme au Venezuela. Le vrai programme de Mélenchon c’est « L’avenir en commun, avec le Venezuela ». Heureusement, les Français semblent assez lucides puisqu’il n’avance pas dans les intentions de vote autour de 10%. Dans un prochain texte, je reviendrai sur le programme de Madame Le Pen, tout aussi délirant.
« Poursuivons l’étude du programme de Jean-Luc Mélenchon. Il veut mettre en place une règle de rang constitutionnel (page 31) : « Ne pas prélever sur la nature davantage que ce qu’elle peut reconstituer, ni produire plus que ce qu’elle peut supporter ». Donc, concrètement, cela se traduit par quoi ? On ne ne sait pas, il n’y a aucune autre précision dans le livre sur ce point. Une déclaration de bonne intention de plus. »
Si c’est très clair, ça correspond à la capacitée maximale de la nature en France a se régénérer. Ex (les chiffres sont fictifs) La forêt et les eaux française absorbe 5000 tonne de CO2 par ans, nous ne devons pas emmettre en France plus de 5000 tonnes de CO2. Sachant qu’il y a une part incompressible lié à la vie humaine (respiration, nourriture …), On retire 500 tonnes. Il reste donc 4500 tonnes, qui peuvent etre dépensée. mais attention, si on dépasse cette limite, c’est à l’état de faire en sorte de diminuer les émissions du pays, par des mesures comme la taxe carbone plus cher, la mise en place de campagne de prévention, la diminution des énergies carbonnées dans la production électriques … de toute façon, on ne peut plus continuer a polluer comme ça ! IL N’Y A QU’UN SEUL ECOSYSTEME COMPATIBLE AVEC LA VIE HUMAINE, et la science prouve que si on ne s’arrète pas rapidement, il va changer de telle sorte que l’humanité TOUTE ENTIERE SERA EN DANGER ! Après si vous avez une autre solution que de s’y mettre sérieusement, je suis preneur.
« Toujours page 31, M. Mélenchon explique que l’air, l’eau, l’alimentation, le vivant, la santé, l’énergie et la monnaie ne sont pas des « marchandises » et qu’il faut donc les gérer de façon « démocratique ». Cela ne veut rien dire. » Si ça veut dire que le pouvoir démocratiquement élu devrait en avoir la charge, pas les entreprises et intérêts privée, qui n’ont pour objectifs que le profits, alors que l’Etat doit avoir le soucis de l’intérêt général.
« Par contre, il précise que « le droit de propriété sur ces biens d’intérêt général doit être soumis à l’intérêt général et que leur propriété commune doit être protégée et les services publics développés. » Ce qui est intéressant dans cette proposition c’est de voir à quel point Jean-Luc Mélenchon évite de parler de nationalisation. Or, on devine aisément que c’est bien l’objectif qui se cache derrière ces phrases alambiquées : des nationalisations massives dans ces secteurs. Mais visiblement, son équipe lui a déconseillé d’utiliser ce mot. On retrouve la même technique page 45 où il est proposé de « revenir sur les programmes de privatisation » et non de procéder à des nationalisations. Il précise page 46 qu’il faudra de toutes façons recourir à des « réquisitions d’entreprises d’intérêt général. » Lesquelles ? Au lecteur d’imaginer. »
Oui il parle de nationnalisation. En Guadeloupe, la gestion par une entreprise privée du réseau d’eau a conduit à une diminution de l’entretien du réseau d’eau. Résultat, 50% de l’eau qui est pompée se perd dans le sol. https://blogs.mediapart.fr/jules-augustin/blog/201116/pourquoi-la-guadeloupe-transporte-t-elle-encore-de-leau-dans-un-panier-1
On abouti a une augmentation des coûts insupportable pour une régions déjà en difficulté financiaire.
Donc oui, il l’a déjà dit, on renationnalise les entreprises qui gerent tout ces secteurs, et qui était des fleuron dans leur domaine avant de devenir des entreprises a simple but lucratif.
« Sur le plan judiciaire, il est prévu de mettre fin au « tout-carcéral » pour assurer « la socialisation des détenus. » Le problème ce n’est pas la délinquance, c’est la prison. Un vieux classique. Pour « garantir la sécurité et la sûreté », M. Mélenchon veut « démanteler les BAC qui ne font que du flagrant délit et ne permettent pas d’assurer une bonne relation entre la police et la population. » Une telle proposition démontre une profonde méconnaissance du travail de terrain fait par les équipes des BAC et c’est méprisant à l’égard de ces fonctionnaires de police. » Je ne pense pas que qui que ce soit ait la bonne solution concernant la police, trop de facteur, et trop d’individualité. Mais on ne va pas faire une loi par personne, donc on essaye de faire au mieux. Or aujourd’hui, personne ne peut dire que le système de la police est parfait. NEANMOINS, je ne pense pas que vous soyiez, à l’heure actuelle, maire à plein temps d’une commune rural de 7500 habitants, en état de juger la qualité de la justice et de la police, et de l’efficacité de leurs prérogatives dans des quartiers urbains dit « sensibles ».
« Sur le plan économique, le désastre est programmé. Il veut interdire les ventes de gré à gré et la titrisation (page 48). Mieux : il interdirait la cotation en continue des entreprises (page 49) ainsi que les LBO (en dehors des reprises des entreprises par les salariés). Toutes ces mesures sont suicidaires pour notre économie » C’est bien de fustiger quelqu’un qui ne détail pas ce qu’il dit … et faire pareil 10 lignes plus loin. En quoi cette mesure serait suicidaire pour notre économie ? Aujourd’hui, ce qui est suicidaire, c’est de laisser au trading Haute fréquence la capacité, en quelque instant, de faire perdre de la valeur à des entreprises solide, sans aucunes raison, comme le flash crash de 2010. Les ventes gré à gré sont le meilleur moyens pour que des OPA aggressive détruisent l’économie réel pour de simple bénéfices financier.
« S’il est élu, Jean-Luc Mélenchon créera un pôle public bancaire. C’est dommage que personne n’ait pensé à lui dire qu’il existe déjà (banque postale, BPI, Caisse des dépôts…). »
Ah oui c’est vrai ça existe déjà … et que font ces institut pour relancer l’économie ? AH bah rien du tout, c’est peut être ça le problème. Quand il met « création », il indique en réalité « utiliser à bon esciant »
« Pour les jeunes de 18 à 25 ans, il veut créer une « allocation d’autonomie » sous condition de ressources. Ce n’est pas une allocation d’autonomie mais de dépendance à l’égard de l’Etat. Par ailleurs, comme à chaque fois, M. Mélenchon ne dit rien sur le coût de cette mesure.
Le retour de la retraite à 60 ans à taux plein pour une durée de cotisation de 40 ans est prévu. Quel coût pour les finances publiques ? M. Mélenchon prend soin de ne rien dire sur ce point, comme à chaque fois. Mais avec M.Mélenchon l’argent tombe du ciel donc inutile de perdre du temps à chiffrer le programme. » PTDRRRRRRRRRR c’est le seul programme qui est 100% chiffrée … Quand on sait pas on se tait. Tenez cadeaux: https://www.youtube.com/watch?v=T7b67QCjibc&
« Concernant le logement, il annonce la création d’une taxe progressive pour les « hautes transactions immobilières. » C’est quoi une « haute transaction immobilière » ? Quel serait le montant de cette taxe ? Aucune autre précision n’est apportée. » Bravo, ça s’appelle la démocratie … Pas facile a admettre quand on soutient un candidat (Macron ou Fillon ?) qui a déjà prévue de gouverner de manière autoritaire. http://www.boursorama.com/actualites/macron-se-presente-comme-le-meilleur-pour-battre-le-pen-80091f0e98c0876bc4aef1eab5b045e6 ou https://www.youtube.com/watch?v=s4Z2ahTnReg au choix. Le montant sera discuté et voté.
« Pour la dette publique, Jean-Luc Mélenchon annonce la couleur. Il veut faire un « audit citoyen » de la dette publique pour en déterminer la part « illégitime » et « préparer un réaménagement ». En clair, faire défaut sur le paiement de notre dette (page 63). Il annonce aussi qu’il fera « racheter » la dette par la « banque centrale ». Laquelle, la BCE, la BDF ? Par ailleurs, il faudrait que quelqu’un dise à Jean-Luc Mélenchon que l’actuelle politique monétaire de la BCE a tiré un grand nombre de maturités en territoire négatif. En clair, pour plusieurs Etats dont la France, certains emprunts sont encore moins chers que gratuits puisqu’ils se font à taux négatifs. Que veut-il de plus ? » MDRRRRR vous devriez sortir et vous renseigner. Seul quelques (très) grosses entreprises de crédit ont pour le moment obtenu des prêts négatif, et les états, dont la France, n’ont jamais emprunté a taux négatifs, ce serai trop beau. La BCE ne prete pas aux Etats, mais aux banques privée, puis les banques aux Etats avec des taux surajoutés à ceux de la BCE (qui pour le coup prête a taux zero ou presque), après, parfois, dans les négociation, la BCE rachète les dettes des états AVEC LES TAUX SURAJOUTE !!!! Il est la le problème. Le projet est donc de reformer ce système et de passer directement par la BCE, et court circuiter les banques privée.
« Mais au-delà de toutes ces bêtises invraisemblables, le projet de la France insoumise porte de nombreuses propositions encore plus dangereuses. Elles concernent la position de la France dans l’échiquier international. Jean-Luc Mélenchon président prendrait « des mesures immédiates et unilatérales de sauvegarde des intérêts de la Nation et d’application du projet » (page 81).
Il est ainsi prévu de ne plus respecter les règles européennes du pacte de stabilité, de refuser le libre-échange et de stopper la libre circulation des capitaux et des marchandises au sein de l’UE. Par ailleurs, Jean-Luc Mélenchon veut mettre fin à l’indépendance de la BCE et dévaluer l’euro. Il va de soi qu’aucun autre pays européen n’acceptera de telles mesures (en dehors de la Grèce). »
Tien tien, mais ne me dites pas qu’un pays qui s’est éxonéré de ce pacte s’en sort désormais admirablement bien ? Ah bah si zut, dommage http://www.cnewsmatin.fr/monde/2017-04-13/portugal-la-gauche-anti-austerite-divise-le-deficit-par-deux-753187
Avec cette exemple, je pense que beaucoup de pays seront d’accord pour sortir de ce genre de rêgle absurde, adaptée en période de croissance stable mais caduque vu la crise.
» Du coup, un « plan B » est prévu (page 85), et c’est du lourd :
– Mélenchon stoppe la contribution de la France au budget de l’UE.
– Il « réquisitionne la Banque de France ».
– Il met en place un contrôle des capitaux et des marchandises aux frontières. »
Le plan B, c’est notre arme atomique. la dissuasion nucléaire des négociation. L’Europe elle se fait avec nous, ou elle ne se fait pas. Tout les pays européens sont raisonnable et voit le problème. Même monsieur Schultz, ex president de la comission Européenne le dit: l’allemagne ne pourra continuer a piller l’Europe.
Les allemands sont des personnes raisonnable, Mme Merkel autant que les autres. La montés des courant favorable a l’Exit dans toute l’Europe est un signe qui ne trompe pas. Et personne ne veut que l’Europe implose. Il devient donc nescessaire de négocier. On ne demande pas une politique européenne pour la France, mais une politique européenne qui respecte tout les états, ne conduits pas a la competition entre les nations à « qui qui c’est qu’est le moins cher ? ». On veut une harmonie fiscale et sociale à la hausse, pas a la baisse comme le veut la Finance et les dirigeant européens actuels.
« La France sortira de l’Otan, du FMI, de la Banque mondiale, de l’OMC pour engager la France dans une « nouvelle alliance alter-mondialiste ». Jean-Luc Mélenchon a proposé lors de son déplacement en Martinique, que la France entre « dans les coalitions des pays des Caraïbes et d’Amérique latine » citant « L’Alba et le Mercosur ». Rappelons que L’Alba – Alliance bolivarienne pour les Amériques – est une coalition de pays latino-américains, par le Vénézuélien Hugo Chavez et le Cubain Fidel Castro. Une vraie référence. »
Que pensez vous de l’OTAN ? Cette organisation anti pacte de Varsovie ? Quel est sa légitimmité ? Elle ne fait que nous emporter dans des guerres injustifiée. La france est indépendante, on a l’arme atomique, arme terrible s’il en est, qui nous garantit cependant dêtre à l’abri de toute aggression, puisque l’adversaire en serait alors immédiatement détruits. La France doit rester indépendante, l’Otan est dangereuse, elle ne fai que provoquer au fil des ans des pays qui ne nous ont rien fait, et nous entraine vers des guerres que nous ne voulons pas.
Le FMI, alliance fameuse qui était la pour nous mutualiser des efforts et permettre aux états de se relever en cas de coups dur après la seconde guerre mondiale, est en réalité un appareil qui a pour but de détruire des états pour le simple profits de la finances https://youtu.be/YEReDP35vdU?t=5m30s
La banque mondiale, on peut lui addresser la même critique, elle préfere favoriser le développement économique (privé, plus particulièrement des multinational) avant le développement éducatifs, des conditions de vies etc qui sont le terreau du developpement. Planter des graines dans du sable, c’est pas très efficace, mieux vaut mettre de la terre avant.
L’OMC, cette organisation formidable qui organise le libre échange, soit ce qui détruit l’économie des pays, et encourage le démménagement de la planète, responsable de pollution massive … oui c’est vrai, ce serai dommage de s’en passé.
Et qu’avez vous contre l’ALBA ? Une organisation de COOPERATION économique, et non pas de libre échange, qui permet a chacun d’aider l’autre à se développer. mise en place de programme d’éducation, de soin, de développement mutuelle, pour que soit affectée la vie des peuples de manière méliorative, et que le developpement se fasse dans le respect mutuelle. Exemple d’action ? En échange de facilité de payement du Pétrole Vénézuélien, Cuba a envoyé 10 000 médecins pour soigner les gens atteinds de la cataracte au Vénézuela. C’est sûr que c’est un autre projet de développement que le CETA et toutes ces merdes qui détruisent la planète, la santé, les sociétés et les entreprises. Et puis je remarque qu’on est moins frilleux quand il s’agit de traiter avec les pays du Golf. https://twitter.com/LeilaAdmi/status/853605200661278720
« Lors d’une émission sur sa chaîne Youtube, Mélenchon a chiffré son programme : 273 milliards de dépenses sur le quinquennat pour 190 milliards de recettes. Du grand n’importe quoi. Des chiffres alignés les uns derrière les autres sans aucune crédibilité. »
Tiens, quelques paragraphes plus haut, vous disiez que rien n’était chiffré … Il va falloir être cohérent Monsieur l’économiste.
« La réalité est simple : le programme de la France insoumise est très proche de ce qu’ont fait les pays communistes : étatisation massive de l’économie, contrôle des capitaux, isolation de la France qui sortirait de tous les grandes organisations internationales… »
Communisme: Formation économique et sociale caractérisée par la mise en commun des moyens de production et d’échange, par la répartition des biens produits suivant les besoins de chacun, par la suppression des classes sociales et l’extinction de l’État qui devient l’administration des choses.
Souverainisme: Doctrine des défenseurs de l’exercice de la souveraineté nationale en Europe.
Revoyez donc vos définition.
Et on ne sort pas de la seul organisation international indispensable, L’ONU, qui veillent à la paix dans le monde, et met à égalité les états devant le jugement des autres états et permet de préserver la paix, de plus en plus menacée dans le monde, et nous ne sommes plus dans les « trentes glorieuses », on ne s’assurent plus de la paix dans le monde par une ouverture sans limite, mais par la coopération.
« Cette politique a été mise en oeuvre au Venezuela. Inutile de revenir 50 ans en arrière pour savoir ce qu’engendrerait une telle politique : appauvrissement généralisé du pays, pénuries, inflation non maîtrisée…bref, la ruine, comme au Venezuela. » Raté … Appauvrissement général ? « Le taux de pauvreté a été diminué de moitié, de 54 % des ménages (2003) à 26 % (2008). La pauvreté extrême a diminué de 72 % » Pénuries ? « L’accès à la nourriture a été amélioré de manière significative. La consommation calorique moyenne est passée de 91 % des apports recommandés (1998) à 106 % (2007). Les décès liés à la malnutrition ont chuté de 35 % (de 4,9 à 3,2 décès par 100 000 habitants) entre 1998 et 2006, notamment grâce au Programme Alimentaire Scolaire (petit-déjeuner, déjeuner et collation gratuits dans les écoles publiques) et au réseau Mercal de nourriture subventionnée. » Inflation incontrollée ? Le taux d’inflation annuel au Venezuela pendant les années 1990 a oscillé entre 31 % (1991) et 103 % (1996). En 2007, il a atteint 22,5 %, soit le double de l’objectif gouvernemental qui n’est pas partisan d’une politique de stabilité de prix à outrance. Le Fonds monétaire international, partisan, au contraire, de cette politique de stabilité de prix, l’estimait à 5 % cette année-là pour les économies émergentes. En 2008, le taux d’inflation dépasse les 30 % un niveau comparable à ce qu’il était à l’arrivée de l’administration Chávez en 1999. L’inflation atteint 26,7 % en janvier 2012 et 22,2 % en janvier 2013 (Source: wikipédia https://fr.wikipedia.org/wiki/Hugo_Ch%C3%A1vez#Politique_du_gouvernement_Ch.C3.A1vez ). Bref, la situation au Vénezuela est très loin d’être mirobolante, mais dire que c’est pire qu’avant est une inéptie, dire que Chavez est un dictateur alors qu’il a instauré le referendum révocatoire et vient après un gouvernement social-démocrate qui a fait tirer sur la foule, est un mensonge. Et associer Mélenchon à cette situation, c’est de la calomnie, une technique bien connue des apprentis en argumentation, le Reductio ad Hitlerum, ou en l’occurence Chavezum
En conclusion, tout cet article est la représentation de la mauvaise foi générale qui pourri cette campagne électorale, avec des candidats incapables de ne pas attaquer un programmes avec de vrai arguments. En réalité, vous flippé de voir arriver quelqu’un qui va changer l’ordre des choses, rendre le pouvoir au peuple, et détruire ce système gangréner qui consiste à dire « Après moi, le déluge » la réalité est que vous ne comprenez pas les enjeux du temps dans lequel vous vivez, vous préferez vous replier sur vos connaissance, sans tenir compte du réel.
Je ne sais pas quel candidat vous soutenez, mais je vais vous demandez de cessez de vouloir décrédibiliser le programme des autres en mentant. La réalité, c’est que vous êtes le partisan du moins pire, vous êtes incapable de défendre ce en quoi vous croyiez, car les gens se rendent bien compte que ce qu’on leur a promis depuis 30 ans ne se réalise pas, la richesse, la fin de la misère, du chômage. Assumez votre bilan, et après on pourra discuter.