COVID_19 : on aura ta peau
Nous vivons une crise sanitaire d’une gravité extrême. C’est la guerre. Elle est mondiale. Le COVID_19 a été sous-estimé. Il est parti de Chine, vraisemblablement en novembre dernier. Dès le départ, les autorités chinoises ont tout fait pour nier le problème avant de tout faire pour l’étouffer. Le Docteur LI, mort du coronavirus le 7 février dernier, est celui qui avait lancé l’alerte. Grave erreur de sa part. Arrêté par la police début janvier, Li Wenliang avait dû signer une lettre d’excuses pour diffusion de fausses rumeurs sur internet. Dans ce document il promettait de ne plus commettre « d’actes contraires à la loi ».
On peut douter du bilan officiel chinois qui, pour le moment, annonce un peu plus de 3200 morts. Ce ne devait être qu’un méchant rhume, les victimes étaient toutes des personnes âgées aux multiples pathologies…Bref, rien de bien inquiétant. Puis le virus s’est propagé. Le tueur invisible a pu circuler, librement. Il est très contagieux.
La Chine semble avoir passé le pic. L’Europe est en pleine tourmente ainsi que les USA. Le monde entier est quasiment confiné. L’Afrique est en danger. Les cas de contamination s’y multiplient et le système sanitaire n’est pas à la hauteur pour faire face à la pandémie. On peut craindre le pire.
On tente tous de limiter la propagation du virus. Le respect strict des règles est un impératif. Chacun doit faire preuve de responsabilité.
Mais je veux rester optimiste : on aura la peau du COVID_19. Des milliers de chercheurs du monde entier s’activent pour trouver un vaccin et un traitement. On va y arriver, c’est sûr. La question c’est de savoir quand. J’espère très vite.
Jamais je n’aurais imaginé vivre un tel moment. Je veux avoir une pensée pour les soignants du monde entier qui sont au front pour soigner les malades. Je veux aussi avoir une pensée pour les femmes et les hommes qui continuent de travailler dans les supermarchés, les policiers, les gendarmes, les pompiers, les agents des services publics locaux…Bref, avoir une pensée pour toutes celles et tous ceux qui nous permettent de continuer à vivre.