Les élections municipales auront lieu en mars prochain et la campagne électorale a d'ores et déjà  commencé dans de très nombreuses villes. A Clermont-Ferrand, cela fait plusieurs mois que la bataille a débuté. En tant que Conseiller national de l'UDI, membre du bureau départemental de l'UDI du Puy-de-Dôme, je ne ferai pas de déclaration publique sur ce sujet pour le moment, à l'exception des quelques lignes qui suivent :

– A Clermont-Ferrand, l'alternance est plus que jamais nécessaire. La capitale régionale a décroché ces 20 dernières années par rapport aux autres grandes villes de France. La majorité sortante est à bout de souffle, en manque cruel d'idées, incapable de hisser Clermont-Ferrand au niveau des villes telles que Toulouse, Nantes, Bordeaux…

– Ce qui fera la différence entre les candidats en mars prochain, ce sont les projets qu'ils proposeront aux Clermontois. Les enjeux pour les 10 prochaines années sont colossaux et les Clermontois attendent de l'audace et de l'ambition de la part des différents candidats.

– Dans un contexte national déprimé pour les Socialistes, avec une équipe sortante à bout de souffle, le centre et la droite ont une belle carte à jouer en 2014. Je regrette donc certaines prises de position intempestives qui n'apportent rien au débat et qui sont même contre-productives. Il serait bon que le calme revienne. Les élections sont dans 8 mois, c'est encore loin, très loin.