Le débat Sarkozy-Hollande de mercredi constitue un évènement majeur de la campagne électorale. C'est un peu comme une finale de coupe du monde. Ces débats sont rares : nous en avons eu 3 en 24 ans…Il y a eu le débat Mitterrand-Chirac de 1988, celui qui opposa Chirac à Jospin en 1995 et celui entre
Il se voyait en haut de l'affiche et surtout devant Marine Le Pen. Pendant toute la campagne, il a montré ses muscles. Il a crié, il s'est fait entendre et a dénoncé avec un courage invraisemblable le manque de panache des autres candidats. Il n'a pas manqué de brocarder François Hollande qu'il a qualifié de
Voici deux unes du journal Libération consacrée au même sujet : celle d'hier avec François Hollande et celle d'aujourd'hui avec Nicolas Sarkozy. La ligne jaune est franchie. La presse d'opinion existe et c'est bien normal. Le Figaro est de droite, Libération de gauche et c'est ainsi. Cela ne pose pas de problème à partir du
François Bayrou est le grand perdant de ce premier tour et il est temps pour lui et les dirigeants du MoDem de s'interroger sur la stratégie adoptée depuis 2007, stratégie perdante sans aucun doute. Quelle était cette stratégie ? Elle se résume au "ni droite, ni gauche, au centre" marquant une rupture avec ce qui
Nicolas Sarkozy a proposé à François Hollande de faire 3 débats d'ici au 6 mai afin de permettre aux Français de se faire une idée précise du meilleur candidat. Le socialiste a aussitôt refusé la proposition. C'est logique, il est dans l'esquive permanente et a peur de la confrontation avec le président de la République.
La campagne du premier tour est terminée. Les débats semblent avoir déçu les Français. Il faut dire qu’entre Cheminade, Poutou et Artaud, il y avait de quoi s’endormir. Mélenchon a crié, Le Pen a fait du Le Pen. La lutte entre ces deux candidats s’annonce serrée. J’attends les résultats avec impatience. Tous les sondages annoncent
Jean Peyrevelade n’est finalement pas sûr de voter Hollande au second tour de l’élection présidentielle. Il explique pourquoi.
Depuis le vote du projet socialiste, nombreux sont ceux qui dénoncent un programme irréaliste et déconnecté du monde dans lequel nous vivons. En clair, un programme et des propositions intenables. Mais, pendant la primaire socialiste, François Hollande n'a pas cessé de répéter que le projet socialiste serait son projet s'il devait être élu président en
Après quelques cafouillages dans sa communication, Arnaud Montebourg vient d'indiquer qu'il votera pour François Hollande dimanche prochain. Autant dire que c'est plié. En effet, après les ralliements de Vals, Royal et maintenant Montebourg, on ne voit pas ce qui peut empêcher Hollande d'être le futur candidat du PS. C'est peut-être ce qui explique l'extrême agressivité
A quelques heures d'un débat décisif, le ton monte entre les deux finalistes de la primaire socialiste. Les entourages eux s'invectivent purement et simplement. C'est Martine Aubry qui a ouvert le feu en dénonçant "la gauche molle". Ce procès en gauchisme insuffisant a fait bondir François Hollande et ses amis. Et les répliques ne se